Aujourd’hui, une journée principalement remplie d’administratif pour le hackerspace et l’isolation d’une ancienne cheminée reconvertie en extraction pour une découpe laser ou une autre machine.
L’isolant ça gratte partout… J’ai l’impression que ça me gratte jusqu’au cerveau.
Un peu d’avancement sur le projet AirHackLab comme chaque jour avec mon binôme. L’API Laravel pour mettre à jour les comptes des sondes sur Mosquitto est fonctionnel !
Coté serveur c’est à l’arrache la plus totale… Mais vous pouvez participer avec plaisir !
Pour terminer l’épisode de ce jour, j’ai essayé d’obtenir le prix pour un domaine actuellement en parking.
Le courtier, oui, le courtier a répondu à ma proposition. Son client veut 50.000$ pour un domaine en parking sans aucune valeur particulière. 50.000$ pour un domaine.
Et les frais de transfert et d’enregistrement ne sont même pas offerts.
Motivé par Yves sur Twitter, je vais m’essayer à un petit article chaque jour (ou presque) de mon « confinement renforcé » qui est au final assez souple en Belgique.
Confinement S01
3 jours avant le confinement de mars en Belgique, je suis mis en arrêt de travail forcé. Sans trop m’étendre, bourreau de travail, je n’ai pas soigné une grave infection entrainant un épuisement complet… Finalement la ficelle a cassé et le mot burn-out est tombé. Je suis aujourd’hui toujours officiellement en arrêt, me remettant peu à peu. Un parcours de réintégration sera lancé courant de ce mois. Tout ça pour vous dire que le premier confinement a été très difficile à vivre pour moi, malgré ma proximité géographique du hackerspace et étant occupé à produire des milliers de visières.
Depuis quelques semaines, je commence à aller mieux. Ce break me permet de réfléchir au futur et de concevoir des nouveaux projets comme le AirHackLab et OpenLaser.
Bref. Je ne sais pas encore comment ce format va évoluer; partage de mon quotidien ou partage de mes trouvailles du jour, … C’est l’occasion d’expérimenter ! J’attends vos retours avec impatience.
Saison 2 Episode 1
Après un rapide nettoyage de l’appartement et un petit café à mon bureau, voyons ce que j’ai fait, retenu et découvert aujourd’hui.
J’ai commencé par pousser quelques trucs sans trop d’importance sur GitHub et procédé à quelques modifications sur le blog. Pour commencer le « logo » en haut de site et l’ajout du bloc « les copains » (allez voir ce qu’ils font). Cet ajout qui a été super bien reçu sur Twitter avec une odeur de madeleine des années 90.
Si vous résidez actuellement dans une grotte, vous avez dû manquer l’annonce du Raspberry 400. Je vois un réel intérêt dans cette version pour de la formation. Un peu d’overclocking, un disque externe et on commence à avoir un début de solution sympa.
Pour terminer cet article, une vidéo datant un peu, que j’ai découvert sur Youtube. Je dois vous avouer mon obsession pour les machines à grappin, les coin-pushers, …
Commandée par ma chère et tendre à son annonce pour mon cadeau de Noël 2019, j’ai reçu la Prusa Mini courant juin 2020. Je vous fais part aujourd’hui de mon avis.
Le packaging est plus que bon. Aucune pièce ne se balade dans le carton.
Alors pourquoi une Prusa Mini et pas une « vraie » Prusa Mk3 ? C’est simplement une question de place. Cette Prusa est installée sur mon bureau où je manque déjà de place et j’ai un accès rapide et facile aux imprimantes 3D du hackerspace pour des impressions plus longues et/ou plus grandes.
Son assemblage est très rapide avec seulement 3 pièces. Une fois montée, il suffit de suivre la procédure de calibration,… et vous êtes prêts à imprimer !
Avec un volume d’impression de 18x18x18 cm, elle est largement suffisante pour la plupart de mes besoins. Sur ce modèle, exit la carte SD, un port usb permet d’accueillir une clé (fournie) afin d’y mettre vos gcodes.
Ayant appris que la Prusa Mini avait été commandée le jour de son annonce (pour rappel, c’est un cadeau), j’avais un peu peur d’essuyer les possibles soucis de jeunesse de la machine. En dehors d’un grincement réglé très rapidement avec un peu d’amour et un port USB un brin mal placé, je ne retrouve rien d’autre à redire sur cette imprimante 3D.
Au final, aucune mauvaise surprise, on est sur du très très bon Prusa. Elle n’a pas grand chose à jalouser à sa grande soeur la MK3.
Une imprimante parfaite en machine d’appoint ou pour débuter à moins de 400 €.
